Dans le cadre de son plan d'optimisation de la production d'énergie, des processus de transformation des produits et de la réponse de l'Union à la pandémie de COVID-19, la société SODIPORC a bénéficié de fonds du Fonds Européens pour le Développement Régional (FEDER).

1986

Sodiporc devient une aventure familiale

1986 marque un tournant dans l’histoire de SODIPORC.

Alors que Guy Geoffroy, l’un des fondateurs de SODIPORC est sur le point de prendre sa retraite, son fils, Bernard Geoffroy, accompagné de Françoise, son épouse, décide de racheter les parts des associés de son père.

SODIPORC devient ainsi une entreprise 100% familiale, avec la famille Geoffroy aux commandes.

Bernard et Françoise vont tout de suite insuffler un vent de nouveauté sur l’atelier de découpe charentais.

De la découpe à l’élaboration de produits du terroir

Très vite, SODIPORC diversifie son offre, en proposant désormais des produits finis à son cœur de clientèle, soit les restaurateurs et artisans charcutiers.

Ce sont ainsi de toutes nouvelles recettes de brochettes, de ventrêche ou encore de saucisses qui s’invitent sur la table de tous les gourmets et gourmands de la région !

Ces produits s’inscrivent dès le départ dans l’ambition que Maître Cochon affiche encore aujourd’hui : travailler uniquement avec des matières premières de grande qualité, afin de transmettre aux jeunes consommateurs le goût du manger local et savoureux.

SODIPORC devient alors l’une des entreprises charentaises pionnières du monde charcutier des années 70. Tout petit déjà, Emmanuel Geoffroy, l’actuel patron de Maître Cochon, passait le plus clair de son temps libre dans les ateliers charcutiers. Il se souvient : “je n’étais pas très productif, je pense que j’embêtais plus les charcutiers avec mes questions et mes espiègleries que je n’étais efficace. Quand mes copains allaient à la mer, moi je préférais faire les 400 coups dans les ateliers ! Mais pour moi ça a toujours été un plaisir d’observer les méthodes de fabrication de mes pâtés et spécialités préférés. Et aujourd’hui encore, j’ai la chance de travailler avec des charcutiers qui m’ont connu haut comme 3 pommes !”